-
Coupe de NBA: la finale, une étape sur la voie des play-offs, selon Wembanyama
-
Ford ralentit sur le tout-électrique, la facture atteint 19,5 milliards
-
La "belle émotion" de Charlie Dalin, marin de l'année
-
Wall Street dans le rouge avant les chiffres de l'emploi aux Etats-Unis
-
Pétrolier saisi : Caracas accuse Trinité-et-Tobago
-
Ford réduit la voilure sur le tout-électrique, impact de 19,5 milliards de dollars
-
EDF envisage "d'éventuelles cessions", évoque Edison et les renouvelables
-
Pétrole: le WTI américain au plus bas depuis près de cinq ans
-
Intermarché ne commercialisera pas son "loup" en peluche ce Noël mais en 2026
-
Les propos de Trump sur le cinéaste Rob Reiner indignent jusque dans son camp
-
Caracas accuse Trinité-et-Tobago d'avoir participé au "vol" du pétrolier saisi par les Etats-Unis et critique l'UE
-
Blocage d'un train de blé: prison avec sursis requise contre 12 militants écologistes
-
Explosion dans l'Ain: au moins six victimes, dont deux enfants décédés
-
Chili: le nouveau président élu d'extrême droite promet un gouvernement "d'union nationale"
-
Crimes en RDC: condamnation "historique" à 30 ans de réclusion de l'ex-rebelle congolais Lumbala
-
Le fils de Rob Reiner arrêté pour les meurtres du réalisateur et de son épouse
-
La prix Nobel de la paix Narges Mohammadi "souffrante" après son arrestation en Iran, selon ses soutiens
-
Les exécutions en nette hausse aux Etats-Unis, mais le soutien à la peine de mort s'érode
-
Des milliers de glaciers menacés de disparition chaque année à cause du réchauffement, selon une étude
-
Un tribunal suédois bloque l'abattage de loups prévu pour 2026
-
Le fils de Rob Reiner arrêté après la mort du réalisateur et de son épouse
-
Le bruit perturbe le sommeil de milliers de Franciliens, confirme une étude
-
Crue d'une rivière en Bolivie : nouveau bilan d'au moins 20 morts
-
Trente-cinq pays participeront à la prochaine édition de l'Eurovision
-
Espagne: Sánchez maintient le cap face aux scandales
-
Wall Street attend avec optimisme des données économiques américaines
-
En Iran, les motardes à l'assaut du bitume malgré les restrictions
-
Brandt: après le "traumatisme", élus et salariés évoquent l'avenir
-
Réouverture progressive du site d'Orange à Marseille, situé dans un quartier sensible
-
Au Maroc, 37 morts dans les pires inondations de la dernière décennie
-
JO-2026: Mariah Carey chantera à la cérémonie d'ouverture
-
Le Cambodge accuse la Thaïlande d'avoir bombardé la province de Siem Reap
-
Maroc: 37 morts lors de crues soudaines dans une ville côtière
-
Discriminations à l'embauche: 4.000 CV tests envoyés par le gouvernement
-
Appel à la grève au Louvre: le musée n'a pas ouvert ses portes lundi matin
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits à la location
-
L'automobiliste qui avait foncé dans la foule à Liverpool bientôt fixé sur sa peine
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits
-
Le réalisateur Rob Reiner et son épouse retrouvés morts, "apparemment" poignardés
-
Les deux seuls pandas du Japon seront renvoyés en Chine en janvier, selon des médias
-
"La discussion est ouverte" sur la stratégie sanitaire contre la dermatose, annonce Genevard
-
Tirs à l'université américaine Brown: la personne arrêtée va être libérée
-
La mère du journaliste français Christophe Gleizes a adressé une demande de grâce au président algérien
-
Le réalisateur hollywoodien Rob Reiner et sa femme retrouvés morts à leur domicile
-
Chili: une large victoire de l'extrême droite porte José Antonio Kast à la présidence
-
Jimmy Lai, "le plus vieux prisonnier politique de Hong Kong"
-
NBA: Curry piquant avec 48 points mais les Warriors perdent
-
L'Australie en deuil après un attentat antisémite qui a fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Hong Kong: l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai jugé coupable dans son procès pour atteinte à la sécurité nationale
-
L'Australie et Trump saluent des "héros" face à l'attentat de Sydney
Proche de Poutine, l'ex-chancelier allemand Schröder sauve sa peau au SPD
Malgré sa proximité affichée avec le président russe Vladimir Poutine, l'ex-chancelier allemand Gerhard Schröder a échappé lundi à une exclusion humiliante de son propre parti social-démocrate, même si ses opposants n'ont pas dit leur dernier mot.
"Gerhard Schröder ne s'est pas rendu coupable d'une infraction au règlement du parti, car aucune infraction n'a pu être prouvée à son encontre", a expliqué la section SPD de Hanovre (nord), le fief de l'ancien chancelier, dans un communiqué.
"La commission d'arbitrage estime que le domaine des relations amicales personnelles fait partie du domaine de la vie privée", a-t-elle ajouté, estimant néanmoins "souhaitable" une "prise de distance nette" vis-à-vis de M. Poutine.
Actuellement au pouvoir, le plus vieux parti politique allemand est plongé dans l'embarras depuis des mois à cause de celui qui, aujourd'hui âgé de 78 ans et ayant été à la tête du gouvernement allemand de 1998 à 2005, continue de cultiver ses liens avec le chef de l'Etat russe malgré la guerre en Ukraine.
Un appel de cette décision peut encore être interjeté par des membres du SPD dans un délai d'un mois.
Une option considérée par certains : "Nous n'avons rien changé à notre position selon laquelle M. Schröder doit être exclu du SPD", a ainsi déclaré le président d'une section locale du SPD d'Essen (ouest), Ali Kaan Sevinc, au quotidien Rheinische Post.
Pour le chef de ce parti, Lars Klingbeil, l'échec provisoire de l'exclusion n'enlève rien au fait que, "politiquement, Gerhard Schröder est isolé avec ses positions au sein du SPD".
La décision est "mauvaise" pour la "crédibilité du SPD", mais aussi "mauvaise pour notre pays tout entier", a jugé pour sa part Thorsten Frei, un député de l'opposition conservatrice.
- Partisan de Nord Stream -
Une quinzaine de sections locales du SPD avaient exigé des sanctions à l'encontre M. Schröder -allant jusqu'à son exclusion-, en raison de ses liens avec Vladimir Poutine mais aussi de ses activités au sein de groupes énergétiques russes.
La codirigeante du SPD Saskia Esken ainsi que la ministre de l'Intérieur Nancy Faeser s'étaient déclarées en faveur de son renvoi du parti.
M. Schröder, également très impliqué au sein de Nord Stream AG, les gazoducs controversés entre la Russie et l'Allemagne, est longtemps resté silencieux.
Contrairement à la plupart des anciens dirigeants européens présents avant la guerre dans des instances dirigeantes d'entreprises russes, il a tardé à démissionner de ses différentes fonctions.
Après plusieurs appels en ce sens, l'ex-dirigeant, le mentor de l'actuel chancelier Olaf Scholz, s'était résolu en mai à quitter le conseil d'administration de la compagnie pétrolière Rosneft. Il avait ensuite annoncé renoncer à entrer dans celui du géant gazier Gazprom.
Il a également demandé à Berlin de reconsidérer la position allemande sur le gazoduc Nord Stream 2, dont la construction s'est terminée au début de l'année mais dont le démarrage a été bloqué par le gouvernement allemand à l'approche de l'invasion de l'Ukraine.
- "Homme d'affaires" -
"Je ne renoncerai pas à mes possibilités de discussions avec le président Poutine", a-t-il encore prévenu le 10 juillet dans le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Après sa récente rencontre avec le chef de l'Etat russe à Moscou, il avait affirmé que la Russie souhaitait une "solution négociée" en Ukraine, des propos qualifiés de "dégoûtants" par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Mme Esken avait pour sa part jugé que M. Schröder n'agissait "pas en tant qu'ex-chancelier, mais en tant qu'homme d'affaires".
"Avec tout ce qu'il fait et dit, il agit dans son propre intérêt et dans celui de ses partenaires commerciaux", avait-elle ajouté.
En Allemagne, le prédécesseur d'Angela Merkel s'est déjà vu retirer une partie de ses avantages d'ex-chancelier, à savoir un bureau et du personnel dédié au sein du Parlement allemand.
M. Schröder, qui a noué au début des années 2000 une relation amicale avec le président russe, qu'il a qualifié en 2004 de "parfait démocrate", reste aussi menacé de sanctions par les eurodéputés.
M.A.Vaz--PC