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Nouveaux échanges de coups de feu à la frontière entre l'Inde et le Pakistan
La tension reste vive dimanche entre l'Inde et le Pakistan, dont les soldats ont échangé des coups de feu pour la troisième nuit consécutive depuis un attentat meurtrier au Cachemire, malgré les efforts de médiation diplomatique.
Les relations entre New Delhi et Islamabad sont retombées au plus bas depuis l'attaque mardi d'un groupe armé qui a causé la mort de 26 civils dans la ville de Pahalgam, dans la partie sous administration indienne du territoire contesté.
Sans attendre de revendication, l'Inde a imputé au Pakistan la responsabilité de cette attaque, la plus meurtrière visant des civils commise dans la région à majorité musulmane depuis 2000.
Le Pakistan a aussitôt démenti toute implication. Son Premier ministre Shehbaz Sharif a encore jugé samedi "infondées" les accusations indiennes, et réclamé une "enquête neutre" sur les événements.
Les deux puissances nucléaires se livrent depuis une guerre des sanctions qui inclut la suspension des visas pour les ressortissants de leur voisin, priés de quitter leur sol avant la fin du mois.
Au poste-frontière d'Attari-Wagah, désormais fermé, des familles déchirées font leurs adieux aux épouses, cousins ou enfants forcés de rester côté pakistanais.
Rencontré par l'AFP, un médecin indien de 37 ans, Vikram Udasi, dont l'épouse pakistanaise et l'enfant sont bloqués, plaide pour que soit accordé un visa de long séjour "à ceux qui ont une famille".
La Ligne de contrôle (LoC), frontière de facto entre les deux voisins, concentre toutes les inquiétudes.
- "Riposte appropriée" -
Les forces de sécurité indiennes et pakistanaises y ont à nouveau échangé des coups de feu dans la nuit de samedi à dimanche.
Ces tirs d'armes légères "non provoqués" venus du Pakistan ont visé des positions indiennes, a rapporté l'armée indienne. "Nos troupes ont riposté avec les armes légères appropriées", a détaillé la même source, sans faire état de victimes.
Dans cette ambiance de poudrière, le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé à la "retenue maximale" les deux pays, qui se sont déjà livré trois guerres depuis leur partition meurtrière en 1947.
De nombreux experts craignent une riposte militaire de New Delhi, alors que les opinions publiques des deux pays sont chauffées à blanc.
"Personne n'aime la guerre", a confié KT Ramesh, un Indien de 57 ans venu de l'Etat du Kerala (sud) assister à la fameuse relève de la garde à Attari-Wagah. "Mais cette fois, il faut leur donner (aux Pakistanais) une leçon".
Dimanche, la marine indienne a opportunément publié des images d'essais de missiles anti-navire conduits par plusieurs de ses bâtiments.
"Il y aura des représailles militaires, nous sommes prêts", a confié au quotidien Indian Express, une source gouvernementale.
En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre ses soldats, l'Inde avait mené un raid aérien sur le sol du Pakistan, qui avait riposté.
L'Arabie saoudite a fait savoir qu'elle menait des "démarches pour éviter une escalade" entre les deux pays. L'Iran aussi a proposé sa médiation.
- Enquête fédérale -
Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Mais les deux rivaux continuent depuis à réclamer la souveraineté de l'ensemble du territoire himalayen.
Depuis 1989, sa partie indienne est le théâtre d'une rébellion séparatiste. Les combats entre insurgés et les 500.000 soldats indiens déployés sur place ont causé des dizaines de milliers de morts.
Sur le terrain, les forces de sécurité indiennes ont lancé mardi une vaste traque pour tenter de retrouver les auteurs de la fusillade.
La police indienne a diffusé le portrait-robot de trois d'entre eux, dont deux ressortissants pakistanais.
Elle les accuse de faire partie d'un groupe proche du LeT, le mouvement jihadiste Lashkar-e-Taiba basé au Pakistan déjà soupçonné des attaques qui ont fait 166 morts dans la mégapole de Bombay en 2008.
Dimanche, le ministère de l'Intérieur a confié toutes les investigations à la police fédérale indienne, l'Agence nationale d'investigation (NIA).
"Tous les témoins sont interrogés dans les moindres détails pour reconstituer les événements qui ont conduit à l'une des pires attaques qu'ait connu le Cachemire", a assuré la NIA dans une déclaration.
Parallèlement à cette enquête, l'armée indienne a détruit à l'explosif neuf maisons appartenant à des suspects de l'attaque, a rapporté à l'AFP un policier sous couvert d'anonymat.
Lors de son allocution radiophonique mensuelle, le Premier ministre ultranationaliste hindou Narendra Modi a une nouvelle fois promis aux victimes de l'attaque que "justice leur sera rendue".
burs-pa/gge
F.Moura--PC