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Au G7, Trump fait monter la pression sur l'Iran
Depuis le sommet du G7 au Canada, Donald Trump s'emploie à faire monter la pression sur l'Iran, sans montrer jusqu'ici un grand intérêt pour un éventuel communiqué commun avec les autres dirigeants sur le conflit avec Israël.
"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré lundi le président américain sur son réseau Truth Social, après qu'Israël a déjà appelé les habitants de la capitale iranienne vivant à proximité de sites militaire à quitter les lieux.
Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord allait être signé" concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.
"L'Iran est en fait déjà à la table des négociations, ils veulent conclure un accord, dès que je pars d'ici nous ferons quelque chose", avait-il déclaré depuis les Rocheuses canadiennes, où les dirigeants de certaines des plus riches démocraties occidentales sont rassemblés pour trois jours.
Alors qu'Israël poursuit sa campagne aérienne sans précédent contre des centaines de sites militaires et nucléaires iraniens, rien ne dit pour l'heure que la réunion des chefs d'Etat et de gouvernement du "groupe des 7" (Allemagne, Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, France, Italie et Japon) débouchera sur une déclaration commune sur le conflit.
"Ce sera aux Américains de décider", a reconnu un porte-parole du gouvernement allemand.
- Contenir Trump -
Jusqu'ici l'hôte de la réunion, le Premier ministre canadien Mark Carney, a réussi à éviter un étalage des divisions, mais les divergences persistent et elles sont profondes, en particulier sur le commerce.
L'objectif de nombreux dirigeants présents est de désamorcer l'offensive commerciale de Donald Trump. Le président américain a imposé des droits de douane de 10% minimum sur la plupart des produits importés aux Etats-Unis et menace d'augmenter encore le niveau des taxes.
Selon des sources proches des discussions, pendant une réunion de travail, le président français Emmanuel Macron, la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni et le Premier ministre britannique Keir Starmer ont pressé le président américain de prononcer la fin des hostilités douanières, en faisant valoir que la Chine profitait de ces tensions.
Rien ne dit si Donald Trump a été réceptif, lui qui est adepte d'une diplomatie transactionnelle, dans laquelle la dimension personnelle est extrêmement importante.
- "Je les aime bien" -
En annonçant avoir réalisé de nouveaux progrès avec le Royaume-Uni, avec lequel les grandes lignes d'une entente commerciale avaient déjà été trouvées en mai, le président américain a ainsi dit à propos des Britanniques: "Je les aime bien, c'est la meilleure des protections".
Récemment, c'est surtout sur l'Union européenne que le président américain a concentré ses attaques verbales.
Il s'est entretenu au Canada avec la présidente de l'exécutif européen Ursula von der Leyen, à la demande de cette dernière, a tenu à préciser la Maison Blanche.
Elle a indiqué ensuite, sur X, que les équipes du gouvernement américain et de l'exécutif européen allaient "accélérer le travail en vue d'un accord (commercial) juste et bon."
Les autorités canadiennes ont elles indiqué vouloir arriver à une trêve commerciale avec les Etats-Unis sous trente jours.
- Ukraine -
Il semble tout aussi difficile, si ce n'est impossible, pour les dirigeants du G7 de parler d'une seule voix sur la guerre en Ukraine, déclenchée par l'invasion russe de février 2022.
Les Européens appellent à durcir les sanctions contre la Russie et en particulier contre les ventes de pétrole russe.
Donald Trump, qui compte au contraire sur son dialogue constant avec Vladimir Poutine pour mettre fin aux hostilités, n'a pas caché lundi son scepticisme face à cette option.
"Les sanctions ce n'est pas si simple", a-t-il lancé, soulignant que toute nouvelle mesure aurait un coût "colossal" également pour les Etats-Unis.
A.Silveira--PC