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Rugby: la Coupe d'Europe est "à la recherche d'un second souffle", estime le président de Toulouse
Avant de retrouver samedi la Coupe d'Europe de rugby contre les Irlandais de l'Ulster, en huitième de finale aller, le président de Toulouse Didier Lacroix "ne décolère pas" contre les organisateurs d'une compétition "un peu à la peine", estime-t-il dans un entretien à l'AFP.
Un fort sentiment d'injustice demeure trois mois après l'annulation, en raison de cas Covid-19 au sein de l'effectif, du dernier match de groupe contre Cardiff, que le tenant du titre s'estimait en mesure et en droit de disputer.
QUESTION: Vous aviez manifesté en janvier votre colère contre cette décision, menaçant notamment d'aller devant la justice. Où en êtes-vous aujourd'hui?
REPONSE: "Les procédures sont toutes en cours. La Ligue nationale de rugby (LNR) a saisi le Tribunal arbitral du sport (TAS). On doit de notre côté saisir une juridiction suisse (le siège de l'EPCR, organisateur de la Coupe d'Europe, est basé à Genève, ndlr). Je ne décolère pas et ne décolèrerai pas car on touche aujourd'hui les conséquences immédiates de ce qui s'est passé. Je reste, même à froid, intimement convaincu que le match contre Cardiff ne devait pas être annulé. Il y avait une règle prédéfinie et on y a répondu. C'est une irrégularité de la part des organisateurs. Il n'en demeure pas moins qu'on est encore à ce jour détenteurs du titre. Charge à nous de défendre notre peau, quel que soit le tableau dans lequel nous sommes inscrits, quelles que soient les conditions dans lesquelles nous avons été qualifiés. Tant qu'on est en vie, c'est qu'il y a moyen de se battre pour pouvoir défendre notre titre".
Q: Qu'attendez vous des recours déposés?
R: "D'abord un principe, la reconnaissance d'une faute. A partir de là, quelles sont les conséquences? D'un point de vue sportif, on aura certainement déjà été obligé de faire sans réparation des fautes une fois que la décision aura été rendue. D'évidence, il y a aussi un préjudice financier très important puisque les matches ont été annulés. Donc sportivement on prend le tableau tel qu'il est présenté et économiquement on se battra jusqu'au bout".
Q: Remettez-vous en cause plus largement le mode de fonctionnement de l'EPCR?
R: "L'EPCR est en train d'évoluer et va évoluer encore. On a une Coupe d'Europe qui n'en sera plus une l'année prochaine puisqu'on est susceptible de jouer contre des équipes sud-africaines. On est à la recherche d'un second souffle. Globalement la compétition est un peu à la peine dans certains pays et dans certaines villes et a besoin d'être relancée. Ce n'est pas avec des incohérences comme celles que l'on a vécues que l'on fait preuve d'efficacité dans la capacité à plaire au public. J'ai beau recevoir aujourd'hui, avec un peu de mièvrerie, des excuses cachées disant +on a pris la bonne décision mais on est désolé pour vous+. Non, personne n'est désolé pour nous, personne ne va remplir les caisses puisque personne n'a rien proposé. Et personne ne va changer le classement qui est établi. Tout le monde est content que le Stade toulousain se soit quand même qualifié, pour ne pas aller jusqu'au scandale absolu. Pour autant cette qualification est entachée des conséquences de cette annulation".
Q: Ce sentiment d'injustice peut-il être un ressort pour la suite de la compétition?
R: "C'est aux joueurs, et peut-être au staff, de voir s'ils ont l'envie de prendre ce type d'arguments pour avoir un certain ressort. Ca peut faire partie des discours d'avant-match. La semaine prochaine sortira un film (sur le Stade toulousain, ndlr) qui laisse beaucoup de place aux discours d'avant-match. On peut voir qu'ils ont un sens stratégique, mais qu'il existe également une valeur triviale que l'on retrouve à peu près dans tous les vestiaires de rugby, que ce soit en Fédérale ou en Série. Crier à l'injustice pour pouvoir se motiver dans un vestiaire, je ne suis pas certain que ce soit suffisant".
Propos recueillis par Sébastien DUVAL
A.Motta--PC