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Les dirigeants du G7, dont Trump, se réunissent au Canada en plein conflit entre Iran et Israël
Les dirigeants du G7 sont en route pour les Rocheuses canadiennes où ils se retrouvent à partir de dimanche soir pour un sommet sur fond de craintes d'une escalade hors de contrôle au Moyen-Orient après trois jours de conflit entre l'Iran et Israël.
Le sommet, qui se déroule jusqu'à mardi à Kananaskis dans l'écrin du parc national de Banff, dans l'ouest canadien, est le premier depuis que le retour du président américain au pouvoir a fragilisé l'unité du club des grandes démocraties industrialisées (Allemagne, Grande-Bretagne, Canada, États-Unis, France, Italie et Japon).
Dans ce contexte, le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney a choisi d'inviter également de nombreux dirigeants d'autres pays: Inde, Ukraine, Mexique, Afrique du Sud, Australie et Corée du Sud seront présents.
Eviter les drames sera une priorité absolue pour tous malgré les nombreux sujets de frictions, des droits de douane imposés par Donald Trump à la guerre en Ukraine, ou encore celle au Moyen-Orient.
Pour cela, les pays du G7 devraient s'abstenir de publier le traditionnel long communiqué final et plutôt opter pour des engagements "courts et concrets" sur divers sujets qui seront abordés.
Mais parviendront-ils à parler d'une voix commune, notamment sur le Moyen-Orient?
Israël a lancé depuis trois jours une attaque sans précédent contre la République islamique d'Iran visant son programme nucléaire et l'appareil de sécurité du pays. Téhéran a riposté par de nombreux tirs de missiles et de drones, promettant "une réponse dévastatrice".
Selon une source gouvernementale à l'AFP, les dirigeants prévoient de publier une déclaration commune sur ce conflit appelant à la désescalade.
- "Frappes regrettables" -
Allié d'Israël, le président américain a appelé les deux pays à "trouver un accord". Il a ajouté qu'il était "possible" que les Etats-Unis s'impliquent dans le conflit mais qu'ils ne le sont pas "dans l'immédiat".
Le président français Emmanuel Macron, qui a fait dimanche une halte au Groenland pour exprimer la "solidarité européenne" face aux visées de Donald Trump, a dit espérer un retour au calme "dans les prochaines heures" en Iran et en Israël. Il a par ailleurs exhorté Téhéran à reprendre les pourparlers avec les États-Unis.
Mais cette guerre n'est pas la seule au menu des discussions à Kananaskis. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky fait partie des invités et espère parler à Donald Trump, qui l'avait publiquement humilié lors de leur rencontre à la Maison Blanche en février.
Le président américain, qui s'est rapproché de façon spectaculaire de Moscou, a de nouveau parlé samedi au président russe Vladimir Poutine. Celui-ci lui a dit être prêt à un nouveau round de négociations.
De leur côté, les Européens veulent convaincre Donald Trump d'annoncer de nouvelles sanctions contre Moscou, visant plus précisément les ventes de pétrole russe. Avant d'arriver au Canada, Emmanuel Macron a indiqué qu'il entendait demander à son homologue américain s'il est "disponible" pour mettre en oeuvre plus de sanctions.
- Libre-échange -
Tous les pays veulent par ailleurs aborder l'aspect commercial avec le président Trump. En imposant des taxes douanières d'au moins 10% sur la plupart des produits entrant aux Etats-Unis, ce dernier a dévié le cours de la mondialisation et menacé le monde d'un ralentissement économique général.
Pour évoquer les droits de douane, le Canada a convié Claudia Sheinbaum en espérant une rencontre trilatérale avec les Etats-Unis et discuter de leur accord de libre-échange.
C'est un moment particulièrement important pour le Canada: la dernière fois qu'il a accueilli le G7 c'était en 2018, et les choses se sont mal passées entre M. Trump et Justin Trudeau, alors Premier ministre. Leurs relations ne se sont jamais rétablies.
Mark Carney et Donald Trump se verront lundi matin pour une rencontre en face-à-face.
Ce sommet du G7 est la première visite du président américain sur le sol canadien alors qu'il n'a cessé de menacer son voisin du nord ces derniers mois, estimant qu'il serait préférable qu'il devienne le 51e État américain.
J.Pereira--PC