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Crise avec le Venezuela: Trump assure que Maduro a "tout" proposé, nouvelle frappe
Le président américain Donald Trump a assuré vendredi que son homologue vénézuélien, Nicolas Maduro, avait proposé de faire des concessions majeures pour apaiser les tensions entre les deux pays, alors que les Etats-Unis poursuivent leurs frappes contre des narco-trafiquants présumés.
Les Etats-Unis ont déployé sept navires de guerre dans les Caraïbes, et un dans le Golfe du Mexique officiellement dans le cadre d'une opération contre le narcotrafic, visant particulièrement le Venezuela et M. Maduro.
"Il (Maduro) a tout mis sur la table. Vous avez raison. Vous savez pourquoi ? Parce qu'il ne veut pas jouer au con avec les Etats-Unis", a déclaré le président américain à la Maison Blanche, en réponse à la question d'un journaliste suggérant que le Venezuela aurait offert de mettre certaines de ses ressources naturelles dans la balance.
Peu avant, le président a révélé qu'un "sous-marin transportant de la drogue" avait été la cible d'une des frappes américaines menées dernièrement dans les Caraïbes.
"Nous avons attaqué un sous-marin, et c'était un sous-marin transportant de la drogue, construit spécifiquement pour transporter d'énormes quantités de drogue", a-t-il affirmé, après une question sur l'existence de survivants rapportée dans la presse américaine.
"Ce n'était pas un groupe de gens innocents", a insisté le président américain, qui a indiqué cette semaine avoir autorisé des opérations clandestines de la CIA sur le territoire du Venezuela.
Pour la première fois depuis le déploiement en août, la dernière frappe a laissé des survivants, selon des médias américains. Au moins 27 personnes au total ont été tuées lors de frappes (au moins six depuis le début du déploiement). Le Pentagone n'a pas immédiatement répondu aux questions de l'AFP sur d'éventuels survivants.
La crise, qui menace d'entraîner les deux pays dans la guerre, provoque de part et d'autre des soubresauts au cœur des appareils d'Etat.
Aux Etats-Unis, l'amiral chargé de superviser les frappes a annoncé jeudi sa retraite prochaine, après seulement un an en poste. Et au Venezuela, la vice-présidente Delcy Rodriguez a dû nier des informations de presse l'accusant d'avoir négocié avec Washington une éviction du président Nicolas Maduro.
Depuis quelques temps, bruits de bottes et propos acerbes se multiplient. Les États vénézuéliens de Tachira et Amazonas ont annoncé jeudi le déploiement de patrouilles et des procédures de contrôle aux passages frontaliers avec la Colombie.
Selon le commandant de la Zone opérationnelle de Défense intégrée (Zodi) de Tachira, le général Michell Valladares, pas moins de 17.000 soldats ont été déployés. Toutefois, ces annonces fréquentes et fortement médiatisées par le pouvoir ne se traduisent pas forcément par des opérations visibles sur le terrain.
Dans le Tachira, l'armée s'est déployée brièvement autour du pont Simon Bolivar, qui relie les villes colombiennes de Cucuta et Villa del Rosario à la ville vénézuélienne de San Antonio, a constaté l'AFP.
Dans l'État d'Amazonas, qui borde le Brésil au sud, les militaires s'organisent pour protéger "les entreprises stratégiques" et "les services de base". L'objectif est d'assurer l'intégration du "peuple en armes", selon le chef de la zone de défense locale, le général Lionel Sojo.
- "Guerre psychologique" -
Donald Trump accuse le président vénézuélien d'implication directe dans les trafics, ce qu'il dément formellement. L'arrestation de Nicolas Maduro, inculpé par la justice américaine, fait l'objet d'une prime de 50 millions de dollars.
L'amiral Alvin Holsey a de son côté annoncé qu'il allait quitter son poste de commandement des forces américaines pour l'Amérique du Sud et l'Amérique centrale le 12 décembre pour "prendre sa retraite de la Marine", sur le réseau social X.
Il rejoint une longue liste de hauts responsables militaires américains évincés ou partis depuis le début du second mandat de Trump à la Maison Blanche.
Les récents propos de M. Trump sur les opérations de la CIA ont scandalisé Caracas, qui s'est insurgé contre "les coups d'Etat fomenté" par l'agence américaine.
Le journal américain Miami Herald a affirmé jeudi, sans citer de sources, que la vice-présidente Delcy Rodriguez et son frère Jorge, président de l'Assemblée nationale, négociaient par l'intermédiaire du Qatar avec Washington pour évincer M. Maduro en échange de leur maintien au pouvoir.
"FAKE !! Un autre média qui s'ajoute au dépotoir de la guerre psychologique contre le peuple vénézuélien. La révolution bolivarienne compte sur un haut commandement politico-militaire uni autour de la volonté du peuple", a réagi Mme Rodriguez sur la messagerie Telegram avec une photo d'elle et du président.
Lundi, la prix Nobel de la paix 2025 Maria Corina Machado s'était déclarée convaincue, lors d'un entretien par visioconférence avec l'AFP, que Maduro devrait partir, "avec ou sans négociation".
E.Paulino--PC